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Chicago opened up a new creative life for Sun Ra and he made some of the most surprising music of his career during his formative years in Chicago, arranging for big bands, blues singers and doo wop groups, and playing at strip clubs and Black-and-Tan theatres before his journey into space age jazz took off.
sun ra jazz in silhouette rar
In this episode we meet some of the Arkestra's key members including John Gilmore, talk to Marshall Allen about the Arkestra's legendary rehearsal regime, and listen to the group's first recordings from Chicago as they trace a path from big band swing to space age jazz.
During the 1970s Sun Ra's music developed in a kind of parallel dimension to that of other jazz musicians, bringing in electric guitars and veering towards funk but always with dissonance and chaos lurking around the fringes. In the final part of this series we explore Sun Ra's word 'equations', the elaborate cosmo dramas that the Arkestra performed around the world in the 70s, Sun Ra's space funk and his historic meeting with John Cage.
"Capitaine Ra, tu n'es pas de notre galaxie, mais du fond de la nuit, Capitaine Ra, tu surgis de l'infini, et puis, et puis..." Sun Ra incarne à lui seul la part d'ombre de ce courant jazz que d'aucun considèrent à tort comme le mode d'expression privilégié des cols blancs. Déjà de son vivant, le bonhomme restait incompris. Parmi les premiers à avoir mesuré l'importance de l'impact visuel, il s'est inventé un monde, une mythologie, faite de légendes interstellaires où s'entrecroisent la gloire passée de la haute Egypte avec la flamboyance des technologies futures (si cela vous rappelle un film, je ne sais pas moi, un film comme... euh... "Stargate" par exemple, eh bien, n'allez pas chercher plus loin ce qui les a inspiré). Toujours à la tête de son fidèle Arkestra, Sun Ra peut compter sur les brillants John Gillmore, Marshall Allen et Danny Davis pour apporter cette touche lyrique et incendiaire qui rattache sa musique aux sources du free jazz. Mené par un piano électrique kaleidoscopique, "Cosmos" se déroule comme un voyage interplanétaire, un délire fait de remous hallucinogènes et de sueurs froides. Moins expensif que ses essais précédents, les ambiances de "Cosmos" semblent être plus travaillées, notamment par grâce à l'utilisation intensive des synthétiseurs. Les échos hantés de ces claviers sur "The Mystery of Two" ou "Moonship Journey" (presque rap avant la lettre si on s'attarde un instant sur sa scansion), ces filets de flûtes qui surgissent des temps immémoriaux ("Journey Among the Stars"), ces arrangements complexes et raffinés ("Interstellar Low Ways" qui sonne comme une orchestration de Gil Evans sous acide), aucun de ces éléments n'est privilégié, mais développées tous ensemble, dans une communion de corps et d'esprit, afin que rien ne soit laissé au hasard pour dresser le portrait de ce jazz d'une planète inconnue, comme sorti d'un cauchemar de David Lynch.
In many ways, Elaenia feels like Shepherd's re-imagining of classic experimental jazz albums like Miles Davis' seminal Bitches Brew, which passed on traditional jazz sounds for a looser, fusion-heavy improv style, or Herbie Hancock's Headhunters, which also heavily features ARP Odyssey synths and the Rhodes electric piano throughout. You even hear the influence of classic Sun Ra, like his album Strange Celestial Road, which Shepherd sampled on his 2009 single "For You." 2ff7e9595c
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